La mélopée de l’ail paradisiaque (MO YAN) Prix Nobel de littérature 2012
L’ail qu’ils mangent, qu’ils vendent, qu’ils sentent. L’ail qui devrait les enrichir mais qui ne profite qu’aux hauts fonctionnaires.
Un peuple d’une pauvreté matériel et intellectuel laissé a l’abandon par un état bureaucratique corrompu.
Des fonctionnaires qui usent et abusent.
Une justice faite pour les riches.
Un livre dur, qui décrit la misère des paysans qui se battent pour simplement survivre dans cette chine profonde.
Des filles vendues comme du bétail. Des familles ou la misère et la brutalité se côtoient.
« Les misérables » version chinoise.
Ce que j’ai aimé : la découverte de cette chine profonde et méconnue
Ce que je n’ai pas aimé : la fin du livre en forme d’interrogation